Morgan Weaver
Messages : 15 Date d'inscription : 24/12/2010
| Sujet: Morgan Weaver Lun 27 Déc - 22:58 | |
| | O I N F O R M A T I O N S . G É N É R A L E S ;; O
PRÉNOM & NOM : Morgan Weaver. ÂGE : vingt-quatre. GENRE : Masculin. RÔLE : Résident partisan.
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O D E S C R I P T I O N S ;; O
DESCRIPTION PHYSIQUE: Ses cheveux lui tombent jusqu'au cou, ils ne sont que très rarement coupés et sales. Ils sont d'une couleur sombre dans la quelle les poux peuvent s'y mêler en secret et dévorer sa chair en toute impunités. On peut y voir, en un mouvement d'œil, des filets de toiles d'araignées, des morceaux de poussières entrelaçant le moindre brin de cheveux et en forçant le regard, on peut apercevoir une ou deux puces tuer les quelques derniers cheveux isolé de saleté qu'à le jeune homme. Mais ce n'est rien comparé à sa peau, les poils de ses bras, la chair de ses jambes et l'état de sa nuque : celle-ci est rude, on y sentirait presque le sol de granit qui sert à Morgan de lit, sale, couverte de terre dure, elle n'est jamais lavé par de l'eau pure, parfois la pluie peut l'aider à s'éclaircir quand elle arrive à s'écouler jusqu'au sol de sa chambre de fortune, la boue peut lui donner une douceur d'en-temps et les fibres de ses vêtements cachent la saleté, mais elle ne s'en va jamais, comme un boulet fixé au cheville dont la clé a été jeté dans une forêt dont la localisation est inconnue; mais sa peau est surtout recouverte de cicatrice - d'ancienne, de disparut, de nouvelle, de grosse, d'étrange, de fine et de douloureuse. Il est impossible de dire combien il y en a eu, combien il y en a en ce moment ni combien se rajouteront au côté des précédentes. Parmi celle-ci, les plus présente sont des brulures de cigarette - au cou et au bras - et des coups de canne, de simple bâton ou de barre de fer vielle au niveau des genoux jusqu'au cheville. Mais Morgan se dit chanceux, les armes à feu se font nombreuse et aucune d'elle n'est entrée dans sa chair et encore moins dans ses os jusqu'à ce jours. Il n'est pas étonnant donc, après tous ces détails, de comprendre qu'il dégage une odeur pestilentiel et que ses vêtements sont sales eux aussi : des vêtements tous d'occasion, déchirés en de multiples endroits et d'autre non, mais qui n'attendent qu'à l'être. Ils sont tous vieux, datant de plusieurs siècles et volé à des vampires qui, d'ailleurs, les lui avaient donnés pour les nettoyer. Curieux qu'il n'ai jamais songé à les laver par la même occasion. Chez lui, un seul de ses vêtements n'a jamais été volée : une petite montre digital faisant aussi chronomètre - quoi que cette fonction étant cassé, elle ne lis que l'heure. Elle est depuis de nombreuses années trop petite pour lui, mais il se vous à la garder, lui serrant le poignée. S'est une chance que sa maigreur physique lui empêche de perdre la fonction de sa main gauche. Il est en effet d'une taille ni trop grande, ni trop petite. Il est normal à ce point de vue : seul son poids joue défaut, il est à peine en dessous de la limite conseillé, on lui voit les cotes sans trop froncer les paupières et les joues sont de jours en jours un peu plus creusées que la veille. Ses lèvres sont fines, leurs rosée d'en-temps ont disparut pour laisser place à une couleur plus sombre; son nez est plus grand, plus large que ses lèvres, il donne place à deux larges arcades osseuses où sont fixés deux yeux bleu mouvant pouvant vous suivre jusqu'à vous perdre en même que vous, lui.
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE: A trop vivre en enfer, on en devient un mur. C'est sans doute le proverbe qui va le mieux à Morgan. La schizophrénie s'est emparé de lui comme un feu qui a commencé par la plus chaleureuse des bougies. Elle est là depuis onze ans - au moment où il s'y attendait le moins - ou plutôt devrais-je dire "il" est là : Max, comme on peut l'entendre s'y adresser dans un couloir, seul. Celui-ci est un ami, son unique ami mais pas son meilleurs. Non, au point de vue ancienneté, il l'est bien sûr, étant le seul; mais un doux air de paranoïa siffle entre les deux infectes oreilles de Morgan qui l'oblige à se méfier de tout le monde, même de lui. Il ne fait aucun pas sans se demander si ce certains Max ne serait pas en train de le trahir. Max, c'est un homme pleins de malice, qui se refuse à en faire preuve. Mais souvent, il donne de multiples directive au résident qu'est Morgan, va-là, fais-ci, donne-lui ça. Donc si vous l'attendez dire à de multiple reprise, comme une âme tourmenté "je n'ai pas voulu la violer", ou "je n'ai pas voulu voler ce pendentif", ce n'est pas complètement faux : disons que ça conscience lui a ordonné et on ne peut pas désobéir à une personne de cette importance. Mais attention, il ne déteste pas ses actes. Il les commet depuis tant d'années, par ordre de Max ou de vampire, qu'il en a prit gout, c'est une sorte de drogue, et quand il fait ce genre d'actes nuisible, disons qu'il ajoute son grain de sel : une sorte de mélange de folie et de sadisme. Oui, la torture avec rajout d'un geste de viol violent c'est son truc. Conseil mesdames comme messieurs : fermez-vos portes, car à trop ne pas avoir prit connaissance des sexes opposés étant enfant, il ne voit que très rarement les différences que ces deux gentes ont. Il en est devenu névrosé, il aime les contacts corporel comme la douceur d'une voix. Alors un conseil : ne lui parlait pas quand vous en aurez l'occasion, il pourrait s'attacher de manière trop collante à vous. Il n'est donc pas à signaler qu'il croit avoir des amis alors qu'aucun ne désire l'avoir en affection. Pour résumer, disons que selon lui Morgan ne torture pas : il aime. Il ne voit de mal nul part, et ne pourrait donc jamais trahir ses maitres les vampires, le traitant en esclave. Il est cependant nettement influençable; mais attention : à trop en jouer, il se pourrait qu'il finisse par le comprendre, et là il pourrait se mettre à devenir d'une violence qui se finirait en bain de sang, si vous lui laissez la moindre chance.
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O B A C K G R O U N D ;; O
HISTOIRE DU PERSONNAGE: On ne m'a jamais demandé à quoi a ressemblé ma vie... Jamais ! Jamais, on ne m'a même parlé en ami, jamais on ne m'a posé de question. Non... s'était toujours : "fais-ci !" "fais-ça !". Mais mon avis, ma vie, mes amours et mes ennuies, on s'en balance ! Mais vous, petite raclure, vous voudriez que je vous raconte, sans oublier de détails ? Non, vous le méritez je suppose, hein ?! Vous venez ici en messie, un sourire borde vos lèvres. Vous pensez bien sûr que tout le monde va vous accueillir, vous crier "Sauvez-moi !", que vous allez le faire, et que nous on vous acclamera comme des roi, mais pourquoi ? Non, je ne vous fait pas confiance. Pourquoi ? Car en, je ne sais pas..., dix-sept ans, vous n'êtes... JAMAIS VENUE ! Mais certes, vous voulez la connaitre, alors je vous la dirait, car son horreur vous glacera d'effroi et vous en voudrait jusqu'à ne jamais vous en remettre, et vous serez tenté de mettre fin à vos jours ci... heureux ! Bien que vous devez haïr votre vie; car oui : vous êtes libre que le jours. Pauvre petite bête... vous êtes si désolant ! Laissez moi raconter comment Dekosky a fait de moi sa tête de turc quand j'avais sept ans, comment j'ai survécu trente jours dans un placard sans nourriture ni eau, ou le jour où j'ai du commettre un meurtre sans raison. Donc commençons, asseyez-vous, ça sera long. Je suis arrivé ici il y a dix-neuf ans, amené par un dénommé Dekosky, Samuel Dekosky. Il faisait classe avec son bouc, ses yeux bleu, son air élégant et sa voix, des moins envoutante. J'avais sept ans, ce jour là, sept petite années... Je crois que je dessinais, quelque chose de ridicule je paris : un arbre, peut-être des nuages voir un ou deux moutons. Bref, je dépassais surement : je n'étais qu'un enfant. Un enfant, vous comprenez ? J'avais la vie devant moi, des amis, et des parents qui m'aimait... On n'enlève pas ça à un enfant ! Vous comprenez ?! Mais à moi - voilà que je pleure... mais bref - à moi on me l'a enlevé ! J'étais heureux en ce temps ! J'étais jeune, insouciant, et il s'est emparé de moi, jouant de ça, je n'ai rien vu... Rien ! Vous comprenez ?! Mais bon, ce n'est pas le pire : là c'était encore des jours heureux; s'était un peu plus de deux mois plus tard que c'est devenu pire, beaucoup, mais vraiment beaucoup, plus terrifiant. Savez-vous ce qu'on leur fait au enfants ? Savez-vous ce que les Vampires font à ces enfant ? Il s'amuse d'eux : ils les font danser, jouer, chanter. Il profite d'eux de manière... douce. Mais quand un refuse, sa vie change. Les vampires sont susceptible, vous savez ? Moi oui, et pour cause ! Ça m'est arrivé : Dekosky avait convié les plus importants membres du château à "boire un verre" entre ami; Liandre était-là, je présume que vous le connaissez. Mais dans tous les cas, au bout milieu de la soirée, il m'a dit, ou crié - je n'en suis pas sur -, d'effectuer une petite danse. Dans les jours, et les semaines, qui ont précédées, je le faisais souvent : seul ou en sa compagnie. Ça m'amusait, l'amusait, alors je n'avais pas de raison d'arrêter. Mais là, je ne sais pas... le trac je crois, s'est emparé de moi. Aucun son ne sortait de mes lèvres, j'étais glacé dans cette pièce où régnait le froid. Et à mes derniers souvenirs, ça n'a pas plus à Samuel Dekosky, qui l'a fait remarqué plutôt rapidement : il me battait à coup de canne - mes chevilles n'étaient plus que chairs entourées d'hématomes bleuâtre - et me brulait la nuque par ces mégot de cigarette. Je n'avais plus de peau en cette partie, mais un tapi de chair consumé. Et bien d'autres choses, des choses horribles : je ne veux même pas y repenser, elles me font frémir; alors je ne dirais traitre mot de cette anecdote et passerait au chapitre suivant, le trois en quelques sortes. C'était il y a bien trois mois que cet incident avait passé, et les tortures - pour ainsi dire - n'avait cessé. Et après l'une d'elle qui avait eu lieu dans un placard, Samuel, si je puis user de cette familiarités au près de cette ordure - notez le ton amical avec le quel je dis ces mots -, eu la brillante idée de le refermer à clé en oubliant quelque chose à l'intérieur. C'était... à oui : Moi ! Il m'avait laissé là, oublie ou stratégie, dans tous les cas je réussi à survivre pendant un mois à l'intérieur. D'abord en me nourrissant de cette substance dont il eu utilisé lors de cette précédente torture, puis une fois terminé, ou plutôt que raison de vivre j'eus repris, je m'attaqua une ou deux journée, qui avait semblé être de longues semaines, au bois du placard dans l'idée que si les termite le faisait, je n'avais aucune raison de ne pas pouvoir. Je compris cette fameuse chose existentielle de la vie quelques heures - enfin, minute - plus tard : "nous ne sommes pas des termites". Il en était vraie, nous sommes des porcs. Puisque que dans les heures qui suivirent où je commençais à être rongé par la faim, je du me résigner à boire ce qui avait précédemment était de l'eau, ce que je fus une fois trouvé un seau. je bu de cette façon, deux gorgé par jour - matin et soir - et ce que j'avalais ? Devinez ! *il montra ses bras faites de cicatrice, autour était une peau qui semblait plus vielle de... disons sept ans* Dans tous les cas, je fis ça pendant un long mois, un ans dans la pensé. Lors de cette fin de mois, s'était Devosky qui m'ouvrit la porte, il espérait que je lui soit reconnaissant de lui avoir aidé, et que tout redevienne comme avant - certainement mes danses qui lui manquèrent -, mais je ne pu pas, on me l'interdisait : Max me l'interdisait. Qui est Max ? Un esprit, une âme, qui est venu me soutenir et qui m'a donné la force de survivre quand je n'avais plus d'énergie dans le placard. Mais pendant quelques semaines, je n'écouta pas ce Max et j'obéissais à Devosky; jusqu'au jour où je dis simplement "non". Il se mit d'abord en colère, mais quand je parla de mon aide, de mon ange gardien, il comprit que je ne rigolais plus - du moins s'est ce que je pensa. Mais quelques années plus tard, je compris qu'il se moquait de moi, que tout le monde se moquait de moi ! Depuis, on me traita en âme errante ici, je n'étais que l'ombre d'un ancien enfant dont on avait appréciait la danse autrefois. Et il fallut dix ans, dix longues années, pour que j'entende enfin une autre voix que celle de Max ou la mienne : la voix de Samuel, qui me disait, m'ordonnait serait plus précis, de tuer un opposant vampire qui semait le trouble dans le château. J'acceptai : enfin quelqu'un me parlait, et ça avait beau être l'homme qui m'avait si souvent torturé et pire, j'étais heureux. Donc une nuit, je mettais approché d'une chambre, j'avais ouvert la porte et étais entré dans celle-ci. J'avais pour ordre d'y poser une bombe sous le fauteuil qui semblait être le seul siège. J'appris le lendemain qu'on le retrouva en cendre, mort. Apparemment la bombe avait pour le moins marché. Pauvre sofa cependant... mais temps-pis, il est trop tard pour se faire de regret. Je n'ai jamais aimé ce meurtre, et les meurtre en particulier d'ailleurs : je n'en trouvait pas mon compte. Je préférais, et je préfère toujours, la torture et l'acte sexuel. Beaucoup plus long et avec un plus grand contact physique, vous n'êtes pas de mon avis ? Voyons... ne faites pas ces têtes. Mais revenons à Max : savez-vous qu'il est ici et qu'il nous regarde depuis tout à l'heure ? Et oui, il n'est pas effet de mon imagination et le fait que vous ne l'entendiez ni le voyez n'est pas étrange. Il l'a choisit, il choisit qui doit le voir et l'entendre, comme moi il m'a choisit. D'ailleurs, s'est amusant, il me parle. Il me dit que vous n'êtes pas bon pour moi. Que vous me voulez que des ennuies. Et il me dit aussi de vous faire dire de partir. Alors partez... PARTEZ ! |
O I N F O R M A T I O N S . A D D I T I O N N E L L E S ;; O
AUTRES ÉLÉMENTS : Le feu : D
PERSONNALITÉ DE L'AVATAR: Ben Whishaw. SELON VOUS, VOTRE PRÉSENCE SERA...: Régulière, mais concernant les postes rp elle ne le sera pas, il faudra parfois attendre quelques jours avant que je poste mais je fais généralement en sorte de poster rapidement. COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? Un top site. QUELLES SONT VOS PREMIÈRES IMPRESSIONS? TROP DE MAJUSCULE POUR LES QUESTIONS. Mais bon contexte et graphisme. Chapeau bas les gens . LES 6 MOTS DE PASSE DU RÈGLEMENT:Pourquoi avoir besoin de six mots ? Pour voir si tu l'as bien lu non mais ho ! Le compte est bon : OUI ! D. Non, vraiment : *re-ouvre le règlement... quelle barbe..., (j'ai d'ailleurs ouvert le dico pour celui-là, je pensais qu'il faisais vraiment partit du rêglement et je me suis cassé la tête à comprendre... mais passons) merci, Bon tout ça pour dire, OK by Léandrounet.
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