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 Taylor Lutner, comme cul et chemise avec Seth. [U.C]

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Taylor Lutner

Taylor Lutner


Messages : 1
Date d'inscription : 29/08/2011

Taylor Lutner, comme cul et chemise avec Seth. [U.C] Empty
MessageSujet: Taylor Lutner, comme cul et chemise avec Seth. [U.C]   Taylor Lutner, comme cul et chemise avec Seth. [U.C] Icon_minitimeLun 29 Aoû - 18:10

Taylor Lutner, comme cul et chemise avec Seth. [U.C] V10
O
I N F O R M A T I O N S . G É N É R A L E S ;;
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PRÉNOM & NOM: Taylor Lutner
ÂGE: 30 ans, mais 402 officiellement.
GENRE: Masculin
RACE: Vampire
RÔLE: Vampire partisan


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D E S C R I P T I O N S ;;
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DESCRIPTION PHYSIQUE:

Beau gosse, beau gosse, je t’en foutrais moi des beaux gosses. Quoi que, si on compte le nombre de donzelles qui ont partagé MON lit, j’ai peut-être la palme. Roh faut bien l’admettre, je suis pas dégueulasse à regarder, non ? Si ? Tu trouves que j’ai une tête de con vraiment ? Non mais tu délires trop, arrêtes le Rhum, c’est pas bon pour toi et donnes la bouteille. T’aime pas les dreads locks peut-être bien, tu dois faire partie de cette branche de tantouze bourgeoistique qui pensent que ça pue le barbecue. ** reniflement de dread, petite grimace **, peut-être bien que oui mais c’est qu’un détail. Bon ok je suis peut-être un brin plus crados que mon frère, mais bon, je suis vrai, je suis pur moi c’est d’époque. Les huiles et tous ces trucs de lopettes, très peu pour moi. Les bains, je les prends quand j’y pense, quand j’ai envie, le savon, ça pique ! Peut-être pas autant que ma connerie mais ça on y reviendra plus tard. Alors voyons voir hormis le fait que je ressemble à un clodo… J’ai trop la classe ! Si, si, regardes, je sors jamais sans mon indémodable bandana dans les cheveux, mes chemises à javeaux un peu (beaucoup) cradingues et défraichîtes, (ça aussi c’est d’époque) mais je suis resté dans mon temps que veux-tu, j’aime pas les jeans moule brune, et autre machin comment qui disent les Jackys ? « SETH ! C’est quoi déjà c’te marque de fringue là, tu sais t’en porte aussi, je te dis que ça fait gay ! » Cal… Calvin câlin, truc dans le genre, on s’en fout. Bref, moi je suis resté dans mon temps et fier de l’être. Pour ce qui est de mon corps d’athlète de beau gosse irrésistible mesdemoiselles vous êtes servie ! Venez admirez mes abdos planqués sous quelques couches d’un régime Rhumique, les muscles si parfaits de mes bras dû à un entrainement de croisage de fer intensifs et ces jambes à en faire trempé le cul dans la vase… Je suis… Super, méga, musclé ! ** tousse**, Moins que l’autre c’est sûr mais ça n’empêche pas. Ce petit con, il fait deux centimètre de plus mais c’est pas une raison, il a rien compris. Bref je vais pas non plus tout de détailler, mon éternel bouc géant, mes bijoux à en revendre, J’suis un pirate mec, alors ça se voit non ?

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE:

Comme je suis le Roi des glandeurs je dirais, demandes à Seth ! Bah quoi je suis le plus moche et en plus le plus con ? Je suis pas d’accord là. J’ai un minimum d’intelligence quand-même, je sais lire une carte, et je sais me servir d’un compta et d’une rapière, et de ma queue. Non plus sérieux, franchement, j’en sais rien. Y’en a pas un pour rattraper l’autre, mais on n’est pas non plus des mauvais gars. La seule chose que l’on demande c’est de garder un minimum de liberté. Sans foi ni loi en gros. On est un peu Anarcho sur les bords. Mais t’as déjà vu un pirate avec de la moral ? Et bah non. Ecoutes bien et ouvres grands tes ouïs. Le truc c’est que nous on a vécus dans la rue, à neuf piges on n’avait pas les vieux derrière, alors forcément on a appris tout seul à s’en tirer du mieux qu’on pouvait. A notre époque les types, ils ne capitulaient pas devant les grands yeux d’un pauvre môme sans parents. Donc voilà, on a commencé à faire nos conneries, vole, et tout, fallait bien qu’on graille. On n’avait pas trop le choix en fait donc c’est comme ça. Mais le truc, c’est qu’on y a pris goût, on a toujours était libre comme des oiseaux. Mets nous en cage et on se flingue direct tu vois. Pour ça qu’on a amarré ici je pense. Léandre nous fait pas chier tant qu’on va pas contre ses… convictions ? Bref. Donc quand tu penses comme nous c’est la liberté avant tout. Franchement on s’en branle des autres, on vit notre vie et point barre y’a rien d’autre à dire.

Après oui c’est vrai, on nous prend pour des enculés sans moral. Normal, c’est un peu ce que l’on est, mais on n’est pas méchant non plus. On est juste un peu barge et le sérieux c’est pas notre truc. Oui je dis on parce que voilà Seth et moi on est comme cul et chemise tu vois. T’en enlève un l’autre il est rien, comme une paire de couilles, sans l’un l’autre sert à rien. Je crois que ça fait partie de notre psychologie. On réfléchit à deux, on fait des conneries à deux, on s’est jamais quitté. Sauf pour aller pisser mais bon, ça c’est normal. Bref, je crois que y’en a un qui doit être un peu plus réfléchis que l’autre. A défaut d’être plus moche c’est peut-être moi. Quoi que. J’avoue que des fois j’aime bien me mettre en avant, mais bon, c’est pas méchant, je retourne vite à ma place. De toute manière on est ce qu’on appelle des jumeaux miroirs. Donc t’en prend un, t’as l’autre. Tu veux Seth si tu tombes sur Tay c’est pareille en gros. Non c’est pas de l’intelligence de savoir ça, c’est de la science. Attention, je t’avais dit que je philosophe des fois, que des fois c’est très, très rare. A l’époque mon truc à moi c’était le « Pour parler », c’est quoi cette bête ? T’es nul. Quand on implore la loi du « pour parler » dans le code des pirates c’est qu’on s’entretient avec le capitaine d’un bateau sans risquer les fers. Mouai, moi je tentais toujours la négociation. Et après la fuite. Faut dire, on est quand même une bonne bande de lopette, on a toujours préféré se tirer en douce, comme ça, pour ne pas avoir à affronter les choses. On faisait l’autruche en gros. Mais j’aimais bien parler, négocier, ça faisait genre. Puis un jour on nous a embarqué et là, on à lever la main et on m’a fait fermer ma gueule « non plus de pour parler tu nous emmerde », en gros. Et la liberté d’expression là-dedans ?

Bref. Donc voilà ce qu’il faut retenir sous nous. On a pas de limite, on n’a pas de barrière, on est des enculés assumés et fier.

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B A C K G R O U N D ;;
O


HISTOIRE DU PERSONNAGE:

Pourquoi on nous prend à part ? Notre histoire c’est complétement la même. C’est vrai. On est né en même temps, on est crevé en même temps, on se colle aux basks, constamment. Je ne vois pas. Rahhhhhhhh tu veux mon point de vu mon petit con c’est ça ? Tu penses que mon récit sera plus intéressant que celui de Seth. BINGO ! Moi j’en suis pas sûre, mais bon, j’ai que ça à foutre. Tires-toi une buche mon gars, je vais te la compter notre histoire. Ca manque pas de rebondissement. Manquerait plus qu’à caser un rendez-vous avec le Hollandais Volant et on l’aurait eu l’histoire du siècle. Manque de bol. Ca reflète plutôt l’histoire de deux gosses pommés qui vivent comme ils peuvent. Car voix-tu, pour notre époque, notre commencement n’a mais alors vraiment rien d’original. Pour ça surement qu’on a visé dans l’originalité par la suite, j’en sais rien. Enfin bon, on s’en tamponne le coquillage avec un oursin. Notre mère nous a pondus, et quelques mois plus tard on s’est retrouvé orphelin. Notre père, a eu la merveilleuse idée de la bouffer la vielle. Comme une envie de pisser. Mais il a eu trop de cœur pour nous. Nous laisser à l’orphelinat, à notre époque c’est la chose la plus horrible pour des mômes. On est mal nourrie, on dort mal, on est entassé comme des poulets dans un pieu. Bref, c’est pas la grande joie. Et ça on l’a vite comprit. Avec Seth on a toujours aimé voir le bon côté des choses, du coup, avec notre éternel connerie et optimisme, on s’est tiré quand on a pu. Grande joie, oui mais après ? Il nous fallait de quoi grailler, de quoi vivre. Dormir dans la rue, on s’en foutait complétement, mais c’était la bouffe. Du coup on faisait des yeux de phoque à qui voulait le voir pour avoir un bout de pain, mais comme c’était dure de les amadouer ces chacals, on a commencé à voler, et à y prendre goût. Faut dire, nous, perdre une main ça nous faisait pas peur. On a toujours était comme ça, vagabonds combatif en gros. Donc voilà.

Ca a duré comme ça tout le long de notre misérable petite jeunesse. On était heureux comme des Rois, nous on en demandait vraiment pas plus. Puis un jour, des pirates sont venue assiéger notre village. Ouai des vrais pirates. Nous on regardait l’océan depuis notre enfance, on en rêvait, mais on avait jamais eu l’occasion de l’affronter. On savait pas naviguer, par contre on savait nager, mais bon, à pince (ou a palme) on n’allait pas aller bien loin. Du coup on a eu l’idée du siècle. Parce que ça nous arrivait souvent d’avoir des idées lumineuses, merci la connerie pour ça. Alors que nos vaillants pirates descendaient de leur magnifique bâtiment, nous, on est monté à bord et on s’est planqués. On savait qu’on risquait notre peau, mais ça on l’avait toujours fait, donc sur le moment, on s’en foutait, c’était ça notre adrénaline tu comprends. Puis quand le bateau est reparti blinder, bah penses-tu, nos deux petit Lutner étaient encore à bord. On était heureux comme des gosses la veille de noël. La sensation des vagues et tout ça, c’était trop le délire. On voyait pas de paysage, ok, mais franchement ça nous allait très bien. On prenait grave notre pied. Enfin, jusqu’au moment où on nous tomba dessus. Alors là on faisait moins les malins devant le capitaine. Sur le moment ils voulaient nous foutre à la flotte les fils de chiens. Comme des merdes, avec le boulet à la cheville et tout. Plus qu’à espérer que Davy Jones nous tombe dessus en gros. Alors la première chose que j’ai su faire, c’était de pousser un peu Seth et de gueuler « pour parler. » Aller ma première négociation. Rien que ça, connaitre la loi du « pour parler » ça l’a foutu sur son gros cul ce beau salaud. Alors on leur a expliqué qui on était. Certes, on avait pas la piraterie dans le sang, mais on savait voler, piller, c’était la meilleure chose qu’on savait faire dit donc. Si c’était pas la seule. Ha bah du coup nous voilà parti avec eux. Le capitaine appelons-le Barbossa, nous a pseudoment adopté, pour qu’on lui serve, de boniche ! La bonne blague. Mais ça nous faisait marrer. Pour la première fois de notre vie on avait trouvé une famille et en plus on partait à l’aventure à la recherche de trésors et de richesse. Que demander de plus sérieux ? Rien quand on porte les noms de Taylor et Seth Lutner.

Combien de temps on l’a servi l’autre con. Quatorze ans. Et ouai, quatorze ans de long et loyaux service avec le dit Barbossa, c’est comme servir trois siècles pour Jones. On pouvait pas le voir. Nous on enchainé connerie sur connerie, on picolait comme des trous, rah les bouteilles de rhum on les a descendu ça c’est claire. On a découvert les joies de la chaire des femmes et tous pleins de choses. Le rêve. Donc au fond, on se foutait bien sa gueule, on n’était pas très stable, mais on vivait un rêve. Et puis en plus, plus le temps passait, plus on montait en grade. Autant le dire, on n’était pas des pirates de bas étages nous. On faisait les choses en grand, et bien même. Du coup bah on est passé du stade éplucheur de patates à quasiment bras droit. Quand il était de bonne humeur il nous laissait même la barre le vieux. Et ça on adoré ça nous tenir la barre. Gueuler des « à bâbord toute ! » C’est à bâbord qu’on gueule, qu’on gueule le plus fort. Bref. Puis un jour on s’est amarré sur une Ile un peu pommée. Rien de bien intéressant. Enfin, ce qui s’en suis l’ai plus que l’endroit en tout cas. Comme toujours, avec Seth on a trouvé illico la porte de la taverne la plus proche. Verres sur verres autant dire, qu’on en tenait une couche. Et v’là t’y pas sur qui qu’on est tombé. Le paternel. Le vieux con il avait pas vieilli d’un pouce, il avait la même gueule que nous c’était bien flippant. Puis le v’là parti dans ses délire, de regrets de vampire, de machin chose. Avachi comme des merdes, on l’écoutait d’une branchie, mais vraiment à moitié, puis là on s’est regardé tous les deux à l’entente du mot « immortalité, et superpuissance. » Autant te dire qu’on a décuvé d’un coup dit donc. Comme ça. Puis ce qui devait arriver, arrivé. Il nous a bouffé cette ordure. Quand on s’est réveillé je te raconte pas cette drôle d’envie de sang frais et humain. C’était vraiment étrange. Oui encore plus étrange que la légende de Black Pearl. En parlant du Pearl. On allait tout juste faire revivre la légende c’était trop… Légendaire !

Donc au bout de quelques jours nous voilà reparti comme des cons, se sentant super important. Adios el padre, c’était un honneur et merci ducon pour ce que tu viens de nous donner ! En gros. La connerie du moment, et l’idée du siècle, buter Barbossa, prendre sa place et devenir capitaine d’un navire ! Capitaines Taylor et Seth Lutner, ça sonnait mais alors carrément bien. On hérita du tricorne, et hop, tout le monde nous écoutait. C’était pas de la tyrannie pas du tout. Alors pour faire le rapport avec le Pearl, justement, nous on pillait la nuit, on voguait de nuit on faisait tout de nuit, comme les bateaux fantômes en gros. On disait de nous qu’on était maudit, tout le monde prenait peur en voyant nos voiles, c’était juste énormissime. Si un membre de l’équipage faisait une connerie, il servait de casse-croute et on en parlait plus. C’était radical, mais putain ce que c’était efficace. Les anglais ont même mit un prix sur nos têtes. Nous, ça nous faisait marrer. Bien entendu. Comme des cons. Plus on approchait le danger et mieux c’était. Mais ce qui devait arriver, arriva. Dix ans, pendant dix ans on a tripé comme des malades en tant que Capitaine. Jusqu’au jour où notre équipage nous fit une mutinerie. Ils se sont révoltés les cons. Alors la première chose que j’ai fait, crier « Pour parler ! » mais là y’a un connard qui m’a ri au nez en me disant « pas deux fois mon gars. » Non mais j’en revenais pas. On nous foutait aux fers dans notre propre navire. Le nôtre, celui qu’on avait réquisitionné. C’était juste du grand n’importe quoi. Mais autant le dire, ça sentait quand-même bien le roussie. Alors du coup, au risque de passer pour une lopette, j’ai chopé Seth par la manche, il fallait qu’on se taille et vite fait bien fait. Moi je voulais pas finir seul sur une île comme un con et sans rhum. Non mais t’imagine même pas, nous sans rhum, mais autant servir de barbecue géant. Du coup on a pris la première chaloupe, et on a pris le large. Quoi tu penses qu’on n’a pas de bijoux de famille ? Sans blague. Tu penses qu’on avait le choix ? Pas de rhum quoi !


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I N F O R M A T I O N S . A D D I T I O N N E L L E S ;;
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POUVOIRS: (Uniquement si vous êtes Vampire)
AUTRES ÉLÉMENTS: Seth Lutner est mon frère jumeaux.
PERSONNALITÉ DE L'AVATAR: Johnny Depp
SELON VOUS, VOTRE PRÉSENCE SERA...: Advienne que pourra.
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? J'ai aperçus les lumières du port.
QUELLES SONT VOS PREMIÈRES IMPRESSIONS? Bonnes.
LES 6 MOTS DE PASSE DU RÈGLEMENT: OK - Gaïa
© Codes & Mise en page par Kayla V. Lehan
Toute reproduction sans autorisation est formellement interdite.
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